Sur les pas d’Imelda

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Spectacle Jeune Public à partir de 8 ans

SYNOPSIS

Cendrillon n’a eu que des garçons. Elle a légué ses pantoufles de vair à Eldamina, la fille du cordonnier, très douée pour la danse. Cette histoire, c’est Imelda – clocharde ou fée – qui nous la conte. Incroyable mais vrai, elle a hérité de ces fameuses chaussures. Celles-ci sont ici bien vivantes, et refusent d’avancer. Comme les deux soeurs de Cendrillon, elles se disputent tout le temps. Elles accepteront d’obéir à la condition qu’Imelda, la conteuse, raconte leur propre histoire. Et quelle histoire !!!
Parcours initiatique et poétique autour des chaussures de Cendrillon qui, subtilement, raconte la jalousie, l’empêchement, la culpabilité, la séparation, et la difficulté de grandir. Un texte énergique et drôle sur le mouvement, le corps, la danse.

NOTE DE MISE EN SCENE 

Dans Sur les pas d’Imelda, je retrouve ce qui me fait agir dans les créations et sûrement ce qui me constitue : un mariage entre légèreté et profondeur, entre burlesque et tragique, entre conscient et inconscient. L’extravagance et l’intelligence de donner vie aux chaussures de Cendrillon et de les caractériser comme les deux sœurs a tout de suite nourri ma fantaisie.
C’est cette paire de chaussures que nous allons suivre à travers les générations d’héritières. Cendrillon les léguera à celle qui dansera avec autant de grâce qu’elle : la fille du cordonnier, puis à sa petite sœur puis à notre personnage principal : Imelda.
C’est elle qui nous raconte cette histoire.
C’est une histoire sur les conflits entre frères et sœurs, sur la jalousie, sur la honte, sur la place dans la famille.
C’est une histoire sur la transmission par amour et non par filiation.
C’est une histoire sur les vertus initiatiques de l’expérience personnelle.
C’est une histoire sur la difficulté de grandir.
C’est une histoire sur la peur de devenir une femme.

VOIR LE SPECTACLE

AUTOUR DU SPECTACLE 

– Atelier « Tous mes visages », mené par Elisabeth Martin : travail de création plastique autour du thème de l’autoportrait
– Atelier Stop-Motion, mené par Yann de Sousa : écriture d’un mini-scénario et réalisation d’une animation image par image
– Atelier  sur l’écriture du journal intime, mené par Nathalie Bensard : improvisations autour du souvenir, raconter son histoire à partir d’un point de vue.

DISTRIBUTION

Texte Mike Kenny – traduction Séverine Magois | Mise en scène de Nathalie Bensard – assistée d’Angèle Peyrade | Avec Nathalie Hauwelle et François Lepage Costumes Elisabeth Martin Scénographie Barbara Kraft | Lumière Pierre Montessuit & Marc Augustin-Viguier | Chorégraphie des claquettes Victor Cuno

SOUTIENS

Spectacle créé en 2010
Co-production avec D-S-N Dieppe Scène Nationale
Avec le soutien de la DRAC Île-de-France – Ministère de la Culture et de la Communication
Avec l’aide à la diffusion d’Arcadie

AFFICHE

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